En 1892, Arthur Conan Doyle, épuisé d’avoir créé son personnage Sherlock Holmes, se retire au spa de Bad Homburg, en Allemagne. Mais sa cure de repos ne se déroule pas comme prévu. La première personne qu’il voit est Oscar Wilde et quand les deux amis font une série de découvertes macabres parmi le courrier des lecteurs auquel Conan Doyle avait prévu de répondre, ils sentent que le jeu ne fait que commencer. La piste les mène à Rome, au Vatican. Pour résoudre le mystère et comprendre pourquoi l’inventeur de Sherlock Holmes a été convoqué de la sorte, Oscar et Conan Doyle s’introduisent dans le cercle le plus privé de l’Église Catholique, où les sept hommes religieux les plus influents du monde, ont beaucoup à perdre.
10-18, 404 pages, 8.10 € (polar historique)
Gyles Brandreth est un brillant touche-à-tout, à la fois journaliste, producteur de théâtre, homme d’affaires, acteur… Inconditionnel d’Oscar Wilde, il a toujours vécu sous le signe du célèbre dandy. Grâce à sa connaissance profonde de l’œuvre et de la vie du poète, il a su restituer le génie du personnage, dont les enquêtes connaissent un franc succès dans le monde.
Je ne manque jamais une enquête d’Oscar Wilde ! Dans ce nouveau tome, il est au mieux de sa forme, en vacances actives (et périlleuses) en Italie. Toujours aussi bien mis en scène par Gyles Brandreth, les personnages semblent vivre sous nos yeux. L’enquête est captivante et le récit, agréable et instructif. Brandreth a encore réussi à m’emporter au fil des pages !